Monuments religieux
Flamme à Notre Dame de Rocamadour
version couleurs
Excellent dimanche à tous nos visiteurs.
chapelle Jaoua
depuis le temps que je passe à ses côtés, il était temps que j’y fasse
une petite halte photos 😛
« Jaoua est un de ces 800 « saints bretons » qui au Ve et VIe siècles, ont fait de l’Armorique le (petite) bretagne, la tissant de Plou (paroisses primitives) et de Lann (monastères).
Jaoua était l’un des 14 compagnons de Paul Aurélien. Surnommé l’ermite, il choisissait toujours les lieux les plus sauvages et les plus beaux pour bâtir sa cabane.
C’est ainsi qu’il eu affaire à un bœuf sauvage, qui venait chaque jour détruire son « lochenn » .
Selon la tradition il créa à Plouvien, deux monastères, l’un sur le site actuel de St-Jaoua, l’autre au village voisin de « Minihi » (monastère avec droit d’asile).
A la fin de sa vie il aida St-Aurélien dans sa charge d’évêque.
Dimanche en Daoulas
La chapelle Pol
Au VI e siècle, après avoir quitté la Cornouaille et traversé la Manche, St-Pol (Paul Aurélien) l’un des sept évangélisateurs de la Bretagne, à débarqué à Ouessant, puis par étapes successives, il est venu à Brignogan par la pointe de Beg Pol. Selon la tradition il aurait débarqué en ces lieux dans une auge de pierre. Par respect et pitié, les habitants ont souhaité transporter cette auge, jusqu’au chef lieu de la paroisse à Plounéour Trez. Chaque fois il arrivaient à la faire traîner par des chevaux, jusqu’au sommet de la grève, mais au delà les cordes se rompaient toujours. Tous leurs efforts furent vains, pour la déplacer plus loin, ils y virent la volonté du Saint, de vois édifier une chapelle à cet endroit. Celle d’aujourd’hui a été reconstruite au milieu des rochers sur les ruines successives des édifices précédents.
Reconstruite en partie en 1870, elle a été restaurée en 1999 et renferme l’auge de St-Pol.
« clics » sur photos pour voir en grand.
A proximité ce trouve un calvaire contemporain de la précédente chapelle, et l’une des guérites de l’ancien réseau de surveillance des côtes établit par Vauban à la fin du XVIIIe siècle.
Autour de la chapelle Pol, nombreuses sont les légendes, telle celle qui vent que lorsqu’un marin se noyait, son corps revenait à la côte, trois jours après qu’une messe ait été dite à son intention à la chapelle.