« – Ils mourront pour la liberté.
– La liberté… Où est la liberté quand on est mort ? »
extrait Tome 1 – la bicyclette bleu de Régine Deforges
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« Pierre Desproges, un de mes maîtres à penser (et à panser les bleus de l’âme par le rire) a prétendu dans ‘Les bonnes manières au lit’, extrait du ‘Manuel de savoir-vivre à l’usage des rustres et des malpolis’, qu’Euclide posait déjà cette question sous la forme « Velocipedus memera ? ».
Mon souhait constant d’approcher au mieux la vérité historique m’incite à douter un peu de la véracité de cette information et à vous avertir, malgré tout le respect que je lui dois, qu’il a probablement tort, car aucun autre texte connu n’y fait référence et aucune photographie de l’époque ne nous y montre une grand-mère ayant enfourché un vélocipède.
Cette question hautement existentielle viendrait en réalité d’une rengaine des années 30, de la période 1900, qui aurait servi de modèle aux questions ironiques ayant la signification sus-mentionnée (dans la chanson, elle se prolongeait d’ailleurs par d’autres questions toutes aussi graves : « si ta p’tite soeur est grande, si ton p’tit frère va bien au pot… » – on comprend donc qu’elle ait pu marquer son époque d’une empreinte aussi indélébile). »
L’île de Batz fait partie des îles du Ponant.
Elle se situe à 2 milles au large de Roscoff sur la côte nord du Finistère.
Elle s’étend sur 3,5 km de long et 1,5 km de large. Le tour de l’île représente 10 km.
Le climat est doux et océanique bénéficiant du Gulf Stream et qui entraîne une culture maraîchère diversifiée et de qualité.
Carte de l’île
Arrivée en bateau
Pas de voiture sur l’île !
Végétation luxuriante, aux odeurs envoûtantes…
« En 1897, Georges Delasselle, assureur parisien, décida de créer au sud-est de l’île de Batz une véritable oasis sub-tropicale. À partir de 1918, il s’installa sur l’île et il se consacra à sa passion : la botanique. Le microclimat lui permit d’acclimater de nombreuses plantes originaires des zones tempérées d’Afrique, d’Asie et d’Amérique. Ruiné et épuisé, Georges Delaselle vend sa propriété en 1937. Par manque d’entretien, le jardin disparaît peu à peu sous la végétation envahissante jusqu’en 1989, date à laquelle l’association « les amis du jardin G. Delaselle » entreprennent la réhabilitation du domaine. Racheté en 1997 par le Conservatoire du littoral, le jardin abrite aujourd’hui une large collection de plus de 1 700 espèces originaires de tous les continents, dont une rare collection de palmiers. Son climat extrêmement doux (2 jours de gel par an au maximum) a favorisé sa vocation maraîchère. On y trouve de très nombreuses essences exotiques. »
Son phare…et la Tribu qui pédale !!!!
(il a été construit en 1836. Il se situe à l’ouest de l’île. Sa hauteur est de 44 mètres)
Ruines de l’église Sainte-Anne
Quelques curiosités…
THE END !!!