Ile de Batz !

Je vous avais déjà présenté cette superbe île, l’an passé 😀

Notre Tribu n’a pas pu résister à l’envie d’y retourner !

« Cette île du finistère nord, à peu de distance de Roscoff (15 minutes de bateau), se détache suffisamment du continent pour que ses habitants puissent vivre une vie tranquille, à leur gré à l’écart des villes et de leurs trop constantes trépidations. Sa modeste surface, son littoral en zigzags changeants, permettent la vue directe sur la mer à chaque pas que l’on fait dans ses chemins. Soit vers ses espaces labourés et riches de cultures diverses, soit vers les plages, les grèves et les masses rocheuses au pied des vagues.

 

Dans l’île, on veut voir la nature et ses parfums, les oiseaux et leurs vols habiles, écouter leurs cris. On veut goûter aux produits de la terre et de la mer que les cultivateurs et les pêcheurs d’ici connaissent mieux que quiconque.

On désire sentir et humer, deviner les sons et les vents, caresser dans ses mains le sel des plages, suivre assidûment le flux et le reflux de la marée. On se sent pénétré par chacun de nos sens, à croire que parfois c’est Batz et sa mer qui, ensemble, nous entourent et nous animent inconsciemment d’une sorte de sixième sens. »

Y. la Prairie.

 

Faire une enjambée…

pour l’île de Batz par l’embarcadère à marée haute.

« Les rêves sont comme des îles.

Alors on est tout seul quand on rêve et ça ne peut pas être autrement. »

Jacques Poulin – écrivain canadien

B : comme Batz, comme Bateau, comme Bouées…

AVE MARIS STELLA  

(José Maria de Hérédia 1842-1905)
 

Sous les coiffes de lin, toutes croisant leurs bras
Vêtus de laine rude ou de mince percale,
Les femmes à genoux sur le roc de la cale,
Regardent l’ Océan blanchir l’île de Batz.

 
Les hommes, pères, fils, maris, amants, là-bas
Avec ceux de Paimpol, d’Audierne et de Cancale,
Vers le Nord sont partis pour la lointaine escale,
Que de hardis pêcheurs qui ne reviendront pas !

 
Par dessus la rumeur de la mer et des côtes,
Le chant plaintif s’élève, invoquant à voix hautes
L’Etoile sainte : espoir des marins en péril ;

 
Et l’Angélus, courbant tous ces fronts noirs de hâle,
Des clochers de Roscoff à ceux de Sybiril,
S’envole, tinte et meurt dans le ciel rose et pâle.

A vos marques ! prêt…

Oh my god !

Qui va se dévouer pour nettoyer les bassins de la piscine

L’hiver n’a pas épargné les bassins de notre piscine

 Par quel bassin allons-nous commencer le nettoyage

Seule la cabine pour se changer est potable   

 

Balade à l’île de Batz

L’île de Batz fait partie des îles du Ponant.

Elle se situe à 2 milles au large de Roscoff sur la côte nord du Finistère.

Elle s’étend sur 3,5 km de long et 1,5 km de large. Le tour de l’île représente 10 km.

Le climat est doux et océanique bénéficiant du Gulf Stream  et qui entraîne une culture maraîchère diversifiée et de qualité.

 

Carte de l’île

 

Arrivée en bateau

 

Pas de voiture sur l’île !

 

Végétation luxuriante, aux odeurs envoûtantes…

« En 1897, Georges Delasselle, assureur parisien, décida de créer au sud-est de l’île de Batz une véritable oasis sub-tropicale. À partir de 1918, il s’installa sur l’île et il se consacra à sa passion : la botanique. Le microclimat lui permit d’acclimater de nombreuses plantes originaires des zones tempérées d’Afrique, d’Asie et d’Amérique. Ruiné et épuisé, Georges Delaselle vend sa propriété en 1937. Par manque d’entretien, le jardin disparaît peu à peu sous la végétation envahissante jusqu’en 1989, date à laquelle l’association « les amis du jardin G. Delaselle » entreprennent la réhabilitation du domaine. Racheté en 1997 par le Conservatoire du littoral, le jardin abrite aujourd’hui une large collection de plus de 1 700 espèces originaires de tous les continents, dont une rare collection de palmiers. Son climat extrêmement doux (2 jours de gel par an au maximum) a favorisé sa vocation maraîchère. On y trouve de très nombreuses essences exotiques. »

Sources wikipédia

  

Son phare…et la Tribu qui pédale !!!!

(il a été construit en 1836. Il se situe à l’ouest de l’île. Sa hauteur est de 44 mètres)

 

    

Ruines de l’église Sainte-Anne

   

Quelques curiosités…

 

 

  

 

THE END !!!