la visite au jardin tropical de Paris bois de Vincennes se termine…
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à revoir à l’automne lorsque les travaux de réaménagement seront terminés 😛
Ce pont semble avoir été installé dans le années 1921. Il relie le mémorial vietnamien au stupa (monument aux mort cambodgien-laotien).
« Les najas sont dans la mythologie Khmer, des êtres surnaturels, mi-humains – mi-serpents, divinités de la terre et des eaux ».
Après l’esplanade du Dinh à voir ou revoir en cliquant sur la miniature 🙂 
la Porte chinoise !
Cette porte en bois est classée aux monuments historiques depuis 1994, restaurée en 1921 elle fut très dégradée par la tempête de 1999.
Je n’ai photographié que la partie supérieure car tout autour, plusieurs engins de chantiers étaient en action 😕
Sur le linteau on peut voir de nombreux animaux et scènes théâtrales. Au dessus de l’arche central se trouve un cartouche dont les caractères symbolisent le bonheur !
Espérons qu’une nouvelle restauration sera envisagée dans les mois à venir, lorsque le jardin tropical aura retrouvé un peu de sa splendeur d’antan…
comme sur ce cliché d’époque
Malgré l’absence de soleil et pour voir ou revoir l’article précédent, cliquer sur cette photo 
la visite du jardin tropical se poursuit 😉 avec la place Dinh.
La Pagode Cochinchinoise rouge a été construite en 1992.
Elle remplace l’ancien pavillon indochinois qui fut détruit en 1984 dans un incendie criminel 😕
A la place de la petite pagode rouge s’élevait la Maison de la cochinchine.
Installée pour l’exposition de 1907, elle provenait de l’exposition coloniale de Marseille de 1906.
« La maison cochinchinoise est une partie de l’ensemble des bâtiments qui constituent la « Maison commune » ou (dinh) du village de Phu-Cuong, chef-lieu de la province du Thu-Dau-Mot.
Elle sert de repos pour les notables. C’est chez elle que se réunissent les anciens du village pour s’occuper des questions commerciales.
Cet édifice mesurait 19,60 mètres de longueur, 17,77 mètres de largeur et 7 mètres de hauteur.
Il avait été construit dans ses diverses parties à Thu-Dau-Mot. Pendant plus de 7 mois, 85 sculpteurs des plus réputés du pays ont travaillé à l’ornementation des bois.
Cette maison « véritable objet d’art » est installée au jardin d’essai dès 1906. Elle est alors surélevée sur une terrasse.
Son plan est orienté Nord-Sud comme cela se fait habituellement en Indochine, sauf avis contraire d’un géomancien.
On construit un vaste perron aux rampes en forme de dragons.
Pour l’exposition coloniale de 1907, on y installe un salon de thé se prolongeant sur la terrasse en surplomb du bassin.
Après l’exposition coloniale, le bâtiment se dégrade rapidement.
Pendant le première guerre mondiale, des blessés originaires des colonies asiatiques y sont soignés.
En 1920, il fut consacré au souvenir des soldats indochinois morts pour la France.
En arrivant au pied de cette pagode rouge, j’avais comme une impression de déjà vu ! et puis le déclic c’est fait…
j’avais vu la même au Vietnam à la cité impériale de Hué 😛
La construction de la citadelle de Hué fut décidée par les empereurs Nguyen au début du 19e siècle,
et son site déterminé par des géomanciens.
En effet, à Hué se trouvent 9 urnes dynastiques devant le Pavillon de la Splendeur qui symbolisent chacune un seigneur NGUYEN. 😀
Hautes de 2 m elles pésent entre 1900 et 2500 kg. Pour celle du Jardin tropical de Paris, je n’en connais pas les dimensions 😳
Mémorial Vietnamien
malgré les annonces météo, sur une bonne partie de Paris et Vincennes le soleil n’a pas daigner montrer le moindre rayon 😦
dommage…. ma virée au jardin tropical, s’est déroulée dans la grisaille et le froid !
de plus le jardin est en gros travaux… tout pour plaire 👿
à refaire en septembre. En attendant quelques clichés vont suivre 😛
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La Tribu d'Anaximandre - des photos au fil des jours... de Danièle Nguyen Duc Long 