Cette orchidée est originaire de l’Asie du sud-est, Inde, Philippines et du nord de l’Australie. Son nom Phalaenopsis évoque la ressemblance des fleurs avec la phalène, un papillon de nuit. Elle est épiphyte, parfois lithophyte c’est à dire poussant sur des rochers. Elle peut mesurer de 30 à 50 cm en pot. On dénombre plus de 5000 hybrides de phalaenopsis à ce jour.
La Tribu d'Anaximandre - des photos au fil des jours... de Danièle Nguyen Duc Long 
jolie série.
Bonjour Danièle, quelle présentation de cette magnifique fleur. Bon Week-end. 🙂
Bonjour Danièle, magnifiques photos, un faible pour la 2e, la couleur est trés belle.
Les deux séries sur l’orchidée sont de toute beauté.
merci à vous tous 🙂 demain je vous présenterai l’ouverture du bouton de la première photo.
Bonsoir Danièle
Il est dit d’une plante épiphyte qu’elle utilise les autres végétaux comme support de culture. La subtilité originelle de l’épiphyte, est que la plante utilise le support en fonction de son emplacement, bien souvent en hauteur dans le cadre des orchidées, pour optimiser les conditions hygrométriques. Ne pas confondre cette, merveilleuse adaptation, cette capacité presque devenue interaction avec tout autre forme de parasitage.
J’ai en mémoire les capacités de l’acacia et les interactions qui le lient avec les grands mammifères et les fourmies.
L’acacia siffleur fournit sous nectar pour nourrir les fourmis et ses épines creuses pour les abriter. En contrepartie les colonies de fourmis protègent la plante contre en attaquant les insectes herbivores. Jusque là rien d’exceptionnel, mis à part que ces mêmes fourmis subsistent dans cet échange en raison de la présence des grands mammifères.
En effet en l’absence d’éléphants et de girafes, les acacias réduisent considérablement la production de nectar et d’épines. En réponse, les différentes espèces de fourmis changent de comportement dans l’interaction avec leur arbre hôte. Certaines colonies quittent l’acacia, d’autres diminuent leur taille de moitié. A leur place s’installent des espèces concurrentes qui ne dépendent pas des récompenses végétales.
A cet instant il faut se souvenir que cet arbre à la capacité d’émettre des phéromones pour stabiliser cet écosystème et prévenir ses congénères lorsque les girafes broutent de trop leurs branches. Ainsi se trouve l’équilibre entre l’acacia, la girafe et la fourmi.
C’est à cet instant que xuan-lay se pose la question : « pourquoi venir parasiter le billet de Danièle avec cette histoire d’acacia » ?
Acceptez mes excuses je ne sais pas !
xuan-lay
Merci pour ce billet qui n’a nullement parasité mon article, bien au contraire, avec une pointe d’humour pour conclure qui nous a bien faire rire, monsieur le Proviseur 😉 et moi, son humble épouse 😛
Bonjour Danièle, cette orchidée avec de belles couleurs est superbe. J’admire tes présentations, elles sont toujours parfaites. Merci. Bonne journée. 😉
Beau travail de PDC sur une fleur aux nombreuses lettres de noblesse ! 🙂
Jolie macro !
bonne joournée.
Merci 😀
Bonjour la tribu, j’apprécie ta manière de photographier en macro, tu en fais des oeuvres d’art… et l’orchidée se prête bien à ce petit plaisir photographique non ?
Oui une fleur qui joue les stars sans caprice 😉
Très jolie fleur que tu nous présentes avec de bien belles couleurs .
Amitié de Rom
Merci Rom, c’est le cadeau d’une amie, et j’ai pris ; pour une fois avec une fleur 😳 bien du plaisir à la photographier.