cadeau de mes filles 😀 l’autocollant pas la voiture 😆
extrait du site de la société :
Dans les années 90, Erwann s’installe à Paris comme intermittent. » On s’est revus avec El Globos en 1996 lors d’une fameuse soirée bretonne à Paris. Je lui ai proposé d’unir nos talents et de faire une gamme de t-shirts. Une idée fabuleuse. Le miracle, c’est qu’on a réussi à s’en souvenir le lendemain matin ! »
Erwann se met à tâter du coton, El Globos dessine. »Au départ, on voulait tourner autour des thèmes de l’ivresse, de la fête en Bretagne. On n’avait pas un rond et les banques nous ont gentiment mis à la porte. »
Erwann emprunte 10 000 francs à sa copine, achète une machine à impression et se met à courir les marchés bretons. » A l’époque, tout le monde vendait du Triskell ou du Genn Ha Du. » Erwann et Xavier prennent le parti de tourner l’imaginaire breton à la dérision et de faire marrer les Bretons en exagérant leurs travers, dont la bouteille. Erwann propose à Xavier d’exposer les t-shirts encadrés dans les bars. « On a appelé ça la Tournée Générale ! Et on avait rebaptisé le vernissage, l’arrosage. Des arrosages qui duraient souvent jusqu’à 5h du matin… » Quelques journalistes de la presse nationale en goguette apprecient, la rumeur est lancée…Mais c’est pourtant un fait-divers qui va faire décoller en 1998 la notoriété de la marque. El Globos dessine une belle hermine… en forme de feuille de cannabis. Plus qu’un t-shirt, un collector, qui s’arrache à prix d’or. Un jour, un bus de la Mission interministérielle antidrogue sillone l’arrondissement de Morlaix et se gare devant la première boutik ALB. Le responsable de la mission manque l’infarctus en voyant la vitrine. « C’était un commandant des stups de Paris ! Il a appelé le substitut du procureur de Morlaix. Puis le stock de t-shirt a été saisi ! J’ai même été entendu 3 heures au commissariat ! Très vite, l’affaire a été médiatisée. » Le procureur de Morlaix arrête à temps la machine à rigoler. Mais la légende A L’Aise Breizh est née.
Entre les marchés, les festivals et la boutik, l’activité augmente de manière exponentielle. Pour Erwann qui travaille encore 6 mois de l’année comme technicien lumière à Paris, ça deveient intenable. « Un jour, j’étais au Zenith, accroché à un harnais à 12m de hauteur et j’ai reçu une commande par téléphone. Là, je me suis dit qu’il fallait choisir ! »
En 2006, le chiffre d’affaires d’A L’Aise Breizh atteint deux millions d’euros. Il progresse de 30% tous les ans. Plus de 200 000 pièces transitent chaque année, un flux qui permet à la société d’employer 17 personnes au siège et dans les boutiks. Après Morlaix, c’est Roscoff qui a ouvert en 2000, puis Quimper en 2001. Ont suivi Lorient, Vannes, Brest et Rennes. PLus recemment, Saint Martin des Champs, Lannion, Pont l’Abbé et Nantes ( mai09). Par ailleurs plus de 70 distributeurs mettent du ALB en rayon.
Extrait de l’article de « Bretons » – juin 2006 – Depuis A L’Aise Breizh a créé son propre atelier de sérigraphie, et à lancé le premier A L’Aise Breizh Café, restaurant sur le port de plaisance de Vannes. »
Un peu d’humour en m’inspirant d’une affiche d’A L’Aise Breizh 😆
Et pour tout savoir sur A l’Aise Breizh clic sur ma voiture 😛
Merci d’éclairer la Hte Savoyarde que je suis. Je découvre 😉
« un joli conte, quoi hein ! »
[sic]
J’ai adoré le texte, même si la photo n’est pas en reste….
Ouais! Il faut être chauvin!
Et voilà comment démarra le commerce « A l’aise Breizh ». Comme quoi,tout peut arriver. 😆
Jolie déco.Bravo les filles.Une pensée pour Maman. 😉
Chez nous,on dit « A l’aise Blaise » mais je n’en ai pas cherché l’origine.Cela veut dire « COOL ».
Faudra que je me le colle devant les yeux. 😀
Discret mais présent… sourire…